Bilan de stage du 21 Juin

 

 

• Première étape : Intégrer le groupe.

Le thème était : lever l’immunité de ma voix pour parler de ma voie, en clair, arriver à communiquer sans peur et sans reproches dirigés vers l’intérieur comme vers l’extérieur.

Petit exercice de groupe pour la communication : faire une ronde, se tenir la main et laisser s’échapper le son qui vient jusqu’à trouver l’harmonie tous ensemble.

 

• Deuxième étape : lever les boucliers qui m’empêchent de trouver le confort dans la communication avec les autres parce que le jugement me fait peur.

Des jeux amusants à faire, comme prendre des postures ridicules pour remettre l’ego à sa juste place et ne plus craindre l’image que la société nous renvoie lorsqu’on sort du cadre de la morale sociétale.

 

• Troisième étape : Laisser sa voix montrer le chemin du soi.

Une fois les blocages identifiés et apaisés, on peut se laisser aller à vagabonder dans la forêt sans craindre de s’y confronter. On laisse parler ce qui vient au gré des échanges avec le groupe en lien avec la forêt et tout se pose naturellement sans chercher à convaincre ou à interpréter.

Rendre hommage à l’humain qui retrouve le goût de l’équilibre et de l’harmonie était au menu d’hier :

• Quatrième étape : après 16h c’est l’heure du quatre heures.

En effet, le gros du travail était derrière nous,  alors nous avons profité pour visiter la mare aux biches et nous nous sommes faits faire un soin énergétique par une vouivre gardienne du lieu, ma foi fort sympathique avec le soutien des poules d’eau et autres libellules qui semblaient vouloir nous apporter leur soutien.

 

• Cinquième étape : L’Adieu au groupe.

Pour se dire au revoir chacun passe entre les participants et se fait applaudir.

 

L’idée de la journée était de rétablir des voix (voies) de communication simple pour arriver à renouer avec son équilibre intérieur qui lui, sait composer la mélodie de l’harmonie qui nous mène vers notre guide intérieur. Du coup, une fois que ce fut fait, les choses sont allées bon train et il ne s’agissait plus de mettre en lumière une peur ou un blocage mais de jouer avec eux.